Sur les campus Américains, dans les grosses facs d’Ivy League comme Yale ou Harvard, dans les community colleges, les étudiantes américaines ont une tradition de badinerie. Pour certaines, c’est Springbreak toute l’année. Les plus lascives et les plus exhib n’hésitent jamais à libérer les mamelles. Free the nipples ! comme un cri de ralliement à la libeté mammaire. Sans faire de philosophie de comptoir, vive les gros seins de jeunes femmes qui se lâchent sur les campus. En voilà quelques nudes, des Brittney, des Kimberley, des Amber jouant les bunnies. Avec leurs gros nichons naturels, leurs yeux bleus et leur peau rose. Tous les nudes, selfies d’étudiante nue entre deux beuveries et match de football. Girls gone wild mais aussi Big Boobs gone wild.
Blondes évidemment, des parents qui votent républicain, surement chrétiens niant la théorie de l’évolution, une morale ultra-conservatrice et des filles qui se foutent à poil sur les réseaux. Voilà une belle image du rêve américain. Et dans l’intimité de leurs dortoirs, ces babes n’hésitent pas à se photographier et les clichés nudes circulent allègrement sur tous les mobiles des gros charos, les Brad, les Thimothy, les Chandler et les Chad.